La Sucrerie de Saint-Leu-d'Esserent
Historique succint
En 1869 : Baroche Ernest et Cie, en 1877 : Eclancher et Cie avec râperie, idem en1889 et 1913. En 1884 : râperie à Crouy-en-Thelle et le Mesnil-en-Thelle. En 1930 : Compagnie sucrière avec une seule râperie à Mesnil-en-Thelle, idem en 1939 et 1951. L’annuaire sucrier de 1951 précise : « usine sinistrée qui n’a pas travaillé depuis la guerre ». On apprend également grâce aux annuaires sucriers qu’un raccordement particulier reliait l’usine au chemin de fer situé à 500 mètres (ligne Creil – Pontoise) et qu’un port sur l’Oise se trouvait devant l’usine.
Les services fiscaux étaient représentés en 1922 par un vérificateur principal et un préposé principal. La production s’élevait à 500 tonnes de betteraves par jour et 42 000 sacs de 100 kg de sucre en 1930. 650 tonnes par jour et 40 000 sacs en 1939.
En 1970 eut lieu une fusion avec la Société des Sucreries et Distilleries du Soissonnais (surtout Bucy-le-Long), la Compagnie Sucrière et les Sucreries de Marle, Vierzy et Saint-Leu, pour aboutir aux Sucreries du Soissonnais et Cie sucrière, qui ferma Saint-Leu en 1975.
Hier…
…et aujourd’hui.