La Sucrerie de Vierzy

Pour le moment nous ne proposons que ces quelques documents, mais un dossier plus consistant fera suite, grâce au travail assidu fourni par Monsieur Bernard Laurent,que nous tenons à remercier pour ces premiers envois.

1870 : achat des premiers terrains.
1888 : la sucrerie travaille 25 000 tonnes de betteraves.
1920 : capacité de 1000 tonnes par jour.
1934 : cinq chaudières stirling au charbon 20 bars 9 tonnes de vapeur plus deux turbo Bréguet.
1959 : cristallisation : trois centrifugeuses automatiques.
1964 : bâtiment administratif.
1965 : diffusion RT 2 et préchaulage Naveau 1 500 tonnes/jour.
1966 : épuration et filtration continue Gaudvin + Pisano.
1967 : atelier de lavage.
1968 : turbo Siemens + thermocompression.
1969 : four à chaux Delot 150 M + décalcification.
1970 : transformation des chaudières Stirling au fuel. Capacité 2 550 tonnes/jour.
1971 : évaporation : multiple effet Seum. Capacité 3000 tonnes par jour + citerne à sirop.
1975 : reprise du secteur de Neuilly-Saint-Front.
1976 : première presse Fentani pour pulpes surpressées.
1977 : chaudière Duquenne 42 bars 55 t. de vapeur.
1983 : coupe-racines Maguin de 7,4 m.
1990 : salle de contrôle commande – diffusion.

Entre 1951 et 1990 la sucrerie de Vierzy a travaillé plus 7 300 000 tonnes de betteraves et en a extrait plus de 1 000 000 de tonnes de sucre cristallisé ou sirop.
La compagnie française de sucrerie remercie tous ceux qui, par leur travail et leur imagination ont contribué à l’activité de la sucrerie de Vierzy.

Vue aérienne du site.

Images de la sucrerie

Une des plus anciennes vues du site.
Une des plus anciennes vues du site.
Réserve d'eau propre de l'usine. Ce grand réservoir en béton circulaire dénommé "tinette" recevait de l'eau pompée à 5 km. de l'usine dans la rivière "La Savière". A l'arrière-plan, les réfrigérants en béton. But : refroidir l'eau chaude des condensats de vapeur de la colonne baromètrique à l'aide de gros ventilateurs.
Réserve d'eau propre de l'usine.
Ce grand réservoir en béton circulaire dénommé "tinette" recevait de l'eau pompée à 5 km. de l'usine dans la rivière "La Savière".
A l'arrière-plan, les réfrigérants en béton.
But : refroidir l'eau chaude des condensats de vapeur de la colonne baromètrique à l'aide de gros ventilateurs.
Vue réalisée par le pilote de l'avion, Monsieur Varnery, ingénieur chef de fabrication, parti peu après comme directeur de la sucrerie d'Aulnat près de Clermond-Ferrand.
Vue réalisée par le pilote de l'avion, Monsieur Varnery, ingénieur chef de fabrication, parti peu après comme directeur de la sucrerie d'Aulnat près de Clermond-Ferrand.
Autre vue aérienne plus récente.
Autre vue aérienne plus récente.
Caniveaux plats pour le stockage et l'abattage des betteraves avant les lavoirs.
Caniveaux plats pour le stockage et l'abattage des betteraves avant les lavoirs.

Les hommes de la sucrerie

En 1928, création des voies ferrées de largeur 0,60 mètre où les locomotives tirent des wagons de betteraves vers l'usine et repartent avec des pulpes.
En 1928, création des voies ferrées de largeur 0,60 mètre où les locomotives tirent des wagons de betteraves vers l'usine et repartent avec des pulpes.
Trois hommes par convoi : un chauffeur, un conducteur et un serre-frein juché sur le dernier wagon qui freine dans les descentes sur l'ordre du conducteur sous forme de coups de sifflets à vapeur. Les personnages : Marcel Roche et Canette. Roche, Bricaux et Poteau.
Trois hommes par convoi : un chauffeur, un conducteur et un serre-frein juché sur le dernier wagon qui freine dans les descentes sur l'ordre du conducteur sous forme de coups de sifflets à vapeur.
Les personnages : Marcel Roche et Canette. Roche, Bricaux et Poteau.
Début du transport des betteraves par camions. On remarque les roues à bandage.
Début du transport des betteraves par camions. On remarque les roues à bandage.
En général, la sucrerie employait des saisonniers pour décharcher ces remorques.
En général, la sucrerie employait des saisonniers pour décharcher ces remorques.
"Sucriers" souvent de père en fils avec de très longues carrières, les remises de médailles étaient l'occasion de faire la fête.
"Sucriers" souvent de père en fils avec de très longues carrières, les remises de médailles étaient l'occasion de faire la fête.
Production de vapeur par générateur à charbon. Ces gros tisonniers de plusieurs kg appelés "ringards" dans les mains des chauffeurs servaient à décoller les mâchefers entre les parois en brique réfractaire et la grille mobile pour éviter son blocage.
Production de vapeur par générateur à charbon.
Ces gros tisonniers de plusieurs kg appelés "ringards" dans les mains des chauffeurs servaient à décoller les mâchefers entre les parois en brique réfractaire et la grille mobile pour éviter son blocage.
Ces crasses étaient récupérées dans un cendrier à double sas avec trappes pour être évacuées par des wagonnets sur rail poussés à la main.
Ces crasses étaient récupérées dans un cendrier à double sas avec trappes pour être évacuées par des wagonnets sur rail poussés à la main.
Exportation de sucre en sacs de 100 kg. par rail, vers les ports via SNCF sous l'étiquette CSV, Compagnie Sucrière Vierzy.
Exportation de sucre en sacs de 100 kg. par rail, vers les ports via SNCF sous l'étiquette CSV, Compagnie Sucrière Vierzy.
En inter campagne, fabrication et montage des bâtiments.
En inter campagne, fabrication et montage des bâtiments.
En inter campagne, fabrication et montage des bâtiments.
En inter campagne, fabrication et montage des bâtiments.
En inter campagne, fabrication et montage des bâtiments.
En inter campagne, fabrication et montage des bâtiments.
Création d'un comité de défense de la sucrerie, à la fin de la guerre 1939/1945. FFI.
Création d'un comité de défense de la sucrerie, à la fin de la guerre 1939/1945. FFI.
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